• La reine des comédiennes françaises, Catherine Deneuve (que l’on verra dans le prochain « Astérix et Obélix » en octobre 2012) jouera le personnage principal du prochain film d’Emmanuelle Bercot (vue dernièrement dans « Polisse » de Maïwenn), « Elle s’en va ». Elle campera le rôle d’une femme au bout du rouleau, à la limite de la faillite professionnelle et laisser par son amant qui décidera du jour au lendemain de prendre la tangente. En somme un rôle qui ne sortira pas l’actrice de ses habitudes ni des notre, mais on lui pardonne tout à la « Grande Catherine »


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  • La saga Twilight continue pour le plus grand plaisir des jeunes filles en fleur mais pour le plus grand déplaisir des autres spectateurs, effarés, cloués à leurs sièges par cette… chose !

     Les acteurs, toujours plus morts, toujours plus blancs et toujours plus touffus sont hélas toujours aussi nuls. Certes, nous n’espérions pas une grande évolution, mais à ce stade là, cela stagne comme dans l’eau dans un puit et on ne peut s’empêcher de penser que ça a la même goût de pourri. Le scénario, la réalisation et la mise en scène sont respectivement bidon, naze et gore. Les plans s’enchaînent en mettant toujours au centre nos deux tourtereaux qui répètent des dialogues creux comme leurs caboches que leur impose un scénario qui part de plus en plus dans tous les sens. Nous étions certes déjà habitués à ce bidon et ce naze, mais il faut dire que le gore est un petit nouveau qui ne fait qu’empirer notre souffrance. Les scénaristes (sûrement saouls comme des barriques) ont respecté le bouquin sur ce point là, enfin presque, nous évitant la scène de Edward détachant sa fifille vampiresque de la pauvre Bella qui n’est plus qu’un tas de chairs sanguinolentes, avec les dents. Mais, si ils nous ont épargné cela, il faut dire que Bella passez moi l’expression, « s’en prend plein la gueule ». La pauvre, mise enceinte part un mari très/trop fougueux (qui casse les têtes de lit quand il fait l’amour) se voit passer une grossesse des plus affreuses, portant un petit monstre qui la dévore de l’intérieur et qui va jusqu’à la faire se briser en deux. La scène d’accouchement est un vrai supplice tandis que notre estomac voit remonter le repas. Le sang coule à flot comme si c’était un fontaine (à croire que Bella possède 40 litres de sang au lieu de 6) devant nos yeux implorants que ce massacre tant scénaristique que cinématographique cesse.

     Ce quatrième chapitre est de trop, comme les précédents. Vivement que ça s’arrête !


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  • Voilà une anecdotes qui n'est pas tout à fait en rapport avec le cinéma (ou la télévision), mais qui l'est un peu tout de même.

    Cela concerne le personnage de Juliet Hulme dans "Heavenly Creatures" (Créatures célestes) de Peter Jackson qui est adapté du journal de Pauline Parker et qui est donc basée sur une histoire vraie. Il se trouve que Pauline Parker et Juliet Hulme qui partageaient une relation homosexuelle dans les années 1950 (à cette époque l'homosexualité était considérée comme une maladie) ont sauvagement assassiné la mère de Pauline à coup de brique alors qu'elles n'été agées que de 15 ans (les filles pas la mère). Elles furent condamné à la prison et sont aujourd'hui en liberté, sous condition de ne pas se revoir. Et là nous en venons au fait : Juliet Hulme, maintenant âgée de 73 ans, est plus connue sous le nom de Anne Perry, célébre auteur de roman policiers tels que la série "Charlotte et Thomas Pitt" comprenant plusieurs livres.

    Il est assez ironique de voir que l'ancienne meurtrière est aujourd'hui célébre pour raconter des crimes fictifs n'est ce pas?


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  • Synopsis : Les quatre filles du Docteur March est la 3ème adaptation du roman de Louisa May lcott, racontant la vie des quatre filles du Docteur March, devenu pauvre et parti faire la guerre de Sécession. On suit leurs aventures, principalement amoureuses.

     

    Petite précision par rapport au film, il s'agit de la troisième adaptation faite au cinéma, celle de Mervyn LeRoy avec Elizabeth Taylor (Amy March), Janet Leigh (Margaret "Meg" March) et June Allyson (Joséphine "Jo" March) notamment.

     

    Grande fan des "Demoiselles de Rochefort", "Peau d'âne" et autres "West side story", je ne m'attendais pas à trouver plus niais, et pourtant, le 7ème art me resservais encore des surprises avec "Les 4 filles du Docteur March", adapté du célébre roman, que l'on peut aussi voir en dessin-animé (pour ceux qui ont passé tous leurs midi devant la télé à regarder cette superbe émission qu'est "Midi les zouzous"), mais avant, ce film, kitch, horriblement coloré, niais à en faire palir les demoiselles (de Rochefort), triste à se tirer une balle (ou autre c'est suivant les personnes), bref un de ces bons drames hollywoodien des années 50-60 (je connais pas la date exacte) comme on les aime! Le début, déjà, est rythmé par une musique style dessin animé, les quatres filles brillent par leur présence, toutes très différentes, l'une bête, l'une moins, l'une intelligente et l'autre très studieuse. Toutes quatre sont des filles adorables qui au lieu de se faire plaisir pour Noël  achetent des beaux cadeaux à leur maman parce qu'elles sont pauvres et que les pauvres aiment faire plaisir. Chacune va chercher l'amour qu'elles vont trouver sauf deux, l'une parce qu'elle meurt, parce que c'est dans le livre et que Hollywood pour une fois s'est décidé à respecter les écris d'autruis, et puis parce que sinon on appellerais pas ça un drame. Mais finalement elle ne meurt pas inutilement parce qu'elle va permettre à sa soeur qui n'a pas de mari d'écrire un bouquin qui va lui en apporter un sur un plateau. Toute cette histoire de famille est très belle, pleine de miracles du style "j'ai la scarlatine, nous sommes pendant la guerre de Sécession (autrement dit je vais crever parce que je l'ai pas attrapé à la bonne époque), je reste des jours au lit, je ne reconnais plus personne tant la fièvre est forte, et là, soudain, je toussote et BAM, je suis guérie"; pleine de ces liens familliaux qu'il est beau de voir; pleine d'amour, mais hélas sans baiser sous la pluie, la faute à l'action qui encore une fois se passe pas à la bonne époque.

    Bref, amis des comédies musicales, et autres niaiseries, ou encore vous les courageux qui n'ont pas peur de s'aventurer dans cette épreuve herculéenne, ce film est pour vous, vous n'en sortirez pas indemnes!

     

    Il y a donc trois autres version :

    Une de Harley Knowles en 1918

    Une de George Cukor en 1933

    Une de Gillian Amstront en 1994


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  • Synopsis : Emma et Dexter passent une nuit ensemble et décident de rester amis. Pendant vingt ans ils vont s'adorer, se détester, s'aimer mais quand comprendront-ils qu'is ne sont bien qu'ensemble ?

     

    Dans ce « Un jour », film très beaux sur un amour inavoué entre deux « meilleurs amis », le ton est vite donné par la musique et la lumière éléments les plus remarquables de ce film. Parce que l’une est tout simplement très belle est annonce le sujet principal, l’amour, dans sa forme la plus belle et l’autre parce que elle annonce le côté dramatique de l’amour c’est à dire la passion avec des décors très anglais, très sobres, avec une lumières sombres, mais magnifique. L’histoire reste tout de même assez décousus puisque tout se passe généralement sur un seul jour, le 15 juillet, de chaque année sur plus de 20 ans. On doit donc comprendre tout seuls ce qui est advenu dans cette année en guettant ce qui se passera le 15 juillet de l’année suivante. Un jour raconte l’amour et la passion en une trentaine de jours pour notre grand plaisir et notre grand désarroi aussi puisque la fin, trop rapide, trop incompréhensible et trop vaine est le « couac » de cette histoire pourtant superbe portée par une Anne Hathaway et un Jim Sturgess tout aussi superbes.


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