• Résumé: Lily Rush est inspectrice à la brigade criminelle de Philadelphie, elle décide, avec l'aide de ses coquipiers, de réouvrir les vieux dossiers afin de les classer.

    Cold case c'est la série de flic par exellence. La série dans laquelle pour être un "cop" il faut avoir eu une enfance de merde, passer toutes ses nuits au boulot et être "entété". Le genre de série où on rigole peu et où les nentils monsieurs de la criminelle défendent la veuve et l'orphelin (ainsi que le veuf et l'orpheline). Cependant, malgré cette ambiance pesante et pas très portée sur la rigolade, Cold case à tout de même un petit truc qui en fait une bonne série qui dura 7 ans. Ce petit quelque chose réside déjà dans le fait que les personnages aient tous une histoire que l'on découvre et qui évolue au fil des saisons; et aussi parce que les nombreux flash-back liés au différentes affaires, permettent de suivre l'affaire du début sans s'embrouiller. Les acteurs ne sont pas en reste et notamment Kathrin Moris (Lily Rush) qui garde un certain naturel qui change de ce qu'on peut voir d'habitude. Ajoutons à cela une B.O très variée qui plaira aux musicos, ainsi que de nombreux épisodes cinéphiliques (sur Rocky, The rocky horror picture show, etc..) qui plaira aux amoureux du cinéma.

    Cold case est donc une bonne série, quoique plutôt dramatique, qu'il faut regarder petit à petit, comme toute série policière qui se respecte, bien qu'elle soit plus digeste de par la plus grande attention portée sur le passé de chaque personnage et sur les "cold cases".


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  • Saison 1:

    Une saison courte, trop courte, faite de 12 épisodes seulement et qui s'annonce, au premier abord, banale, comme toutes les séries d'ados. Car on y retrouve tous les clichets les plus énervants: la blonde pas futefute et poufiasse jusqu'à l'os (Buffy); l'intello ringarde à souhait et trop bonne poire (Willow); le looser de base, à l'humour puéril, dragueur sans succés et lourdeau (Alex); la populaire sans vrais amis n'ayant pour seul but que de devenir reine de mai (Cordélia); le beau gosse qui les fait toutes tomber comme des mouches (Angel); et la figure d'autorité anglaise et lassante (Giles). Heureusement, chacun a son "petit truc en plus" qui fait qu'ils ne sont plus de simples clichets, mais des personnages entiers, aux caractères bien distincts et à l'histoire propre. Mais les points positifs sont rattrapés par deux trois choses pas top top telles que les effets spéciaux navrants (excusables parce qu'on est en 1997) et une histoire qui commence de manière trop complexe entre Angel et Buffy. Sinon, les codes de l'angoisse plus que de l'horreur réelle sont au rendez-vous, Joss Whedon s'est bien débrouillé pour un novice. Cependant, je le répéte, saison trop courte, trop peu de choses ont le temps de se passer et la fin passe comme un coup de vent.

    Saison 2:

    (Suite en attente)


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  • Série archiconnu, ayant relancée la mode des vampires, Buffy contre les vampires mérite sont succés et ses éloges.

    Les plus connaisseurs sauront que Buffy est une adaptation d'un film au succés quasi innexistant du fait que ce soit une vrai daube! Mais, Joss Whedon (Monsieur le créateur et réalisateur (et scénariste de temps à autres)) qui avait participé au film (dont il avait finalement quitté le tournage) à décidé de reprende l'histoire qu'il avait écrite et que le cinéma avait détruite d'une désastreuse manière pour en faire une série au succés planétaire et indélébile. Mais comment se fait-il qu'une série adapté d'un film qu'on pourrait qualifié de série B a-t-elle pu obtenir autant d'audience et donné un résultat si surprenant en comparaison? Explications:

    Déjà, le fait de faire une SERIE permettez de développer le scénario qui avait un très fort potentiel du fait que Buffy ait un destin hors du commun et du fait aussi qu'elle ne combatte pas uniquement des vampires. Cela donnait alors carte blanche aux scénaristes qui n'avaient plus qu'à broder des histoires toutes très différentes et passionnantes. Le fait aussi qu'il n'y ai plus que Buffy mais aussi d'autres personnages permettait une évolution sur plusieurs plans qui a permit à nos scénaristes d'encore plus se lâcher sur les épisodes. Je vous en parle de ces scénaristes, et c'est normal car ils sont tous talentueux, trouvant blagues, émotions, péripéties et combats haletants pour notre plus grand plaisir.

    Ensuite, parlons acteurs, car c'est du gratin (de série bien sur):

    Sarah Michelle Gellar (Buffy Summers), jeune actrice (à l'époque) déjà récompensée avant cela par un Ammy Awards de la meilleure jeune actrice dans une série dramatique prouvant son talent.

    L'accompagnent Alison Hannigan (Willow Rosenberg), plongée dans le cinéma et les plateaux depuis sa plus tendre enfance et au talent incontestable (voir Buffy contre les vampires et How I met your mother) qui a rendu Willow très attachante et sympatique mais aussi effrayante et ayant une léger goût pour la torture mentale et physique; et Nicolas Brendon, jamais acteur avant, qui a un fort potentiel comique, c'est d'ailleurs pour ça que le rôle d'Alex lui va si bien.

    Je terminerais par deux derniers, Anthony Stewart Head, anglais d'origine surtoût connu pour les pubs de Nescafé, mais parfait puisque jouant un anglais, et Seth Green, acteur très conpétent de par l'ora qu'il dégage notamment et par son talent incontestable bien sur.

    Finissons bien, finissons avec de la réalisation. Respectant les codes de l'angoisse et de l'horreur parfaitement, retransmettant les émotions avec clarté et nous les faisant ressentir, Joss Whedon a bien fait de s'y mettre.

    Un conseil donc, regardez, car même si (je ne l'ai pas précisé) les effets spéciaux laissent à désirer (on est tout de même en 1997), c'est une très bonne série, riche et passionnante dans laquelle tout le monde trouve son compte.


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